Mathilde Souchaud (compagnie Studio Monstre) met en scène Les toilettes de l'entreprise, avec Antoine Amblard, Laurent Cogez, Perrine Dauger, Delphy Murzeau et Lise Quet.
- Mardi 28 septembre 2021, à 19h, au Théâtre de Thouars (Deux-Sèvres).
- Samedi 9 octobre (cour du musée Saint-Croix à 17h) et dimanche 10 octobre (cour arrière de l'Hôtel de Ville à 16h) 2021, au Festival Les Expressifs (Poitiers - Vienne).
- Samedi 16 octobre 2021, à 19h, à la salle festive de Bonneuil-Matours (Vienne) en partenariat avec les 3T de Châtellerault.
- Lundi 8 et mardi 9 novembre 2021, à 19h, à La Nef (Pantin - Seine-Saint-Denis).
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| Une répétition, fin juillet, à Mormoiron (cliché : Mathilde Souchaud) |
Production : Studio Monstre / Coproduction : Théâtre de Thouars - Scène Conventionnée, La Nef, DRAC Nouvelle-Aquitaine / Avec le soutien des 3T - Scène Conventionnée de Châtellerault, des communes de Saze et de Mormoiron.
Texte lauréat de l'aide à la création d'Artcena. Nominé pour le prix Text'enjeux 2022. Et dans la sélection 2020-21 du bureau des lecteurs de la Comédie-Française.
Sa présentation sur ce blog.
(présentation de la mise en scène par la Compagnie Studio Monstre)
En mars 2021, l’équipe de création a un coup de coeur pour Les Toilettes de l’entreprise, découvert parmi les lauréats de la bourse Artcena de l'automne 2020. Très rapidement, nous décidons de porter le texte à la scène, dans une forme tout-terrain, sans décors et sans équipe technique. Il s’agit ici d’une rupture avec les créations précédentes de la compagnie. Cette rupture choisie nous permet d’envisager joyeusement de renouer rapidement et intensément avec le public. Notre priorité est de proposer une forme qui puisse se jouer au plus proche des spectateurs : en extérieur, en milieu scolaire, chez l’habitant. Cinq acteurs survoltés, toujours en scène, en adresse directe aux spectateurs, dans une forme marathon, pour partager avant tout des représentations enthousiasmantes qui permettent de renouer avec le plaisir de la représentation théâtrale.
Ainsi, notre proposition exploite les codes populaires de la farce : des personnages caractérisés, un travail du corps chorégraphié, un humour parfois potache. La mise en scène est orchestrée autour de la circulation d’une multitude d’accessoires - les acteurs finissent par littéralement crouler sous l’accumulation d’accessoires - dans un dispositif scénique en demi-cercle au sein duquel acteurs et spectateurs sont au plus proche physiquement. D’un point de vue technique, nous choisissons d’être en totale indépendance : sans création lumière, sans décors et avec un dispositif son autonome.
Notre création est la plus souple et la plus adaptable possible, afin de pouvoir partager avec le plus grand nombre la très belle découverte qu’a pour nous été celle de ce texte et ce de la façon la plus simple et la plus vivante possible.